Cette mobilisation visait à exiger du gouvernement de Conakry la “libération immédiate et sans condition” de Oumar Sylla alias Fonikè Manguè et de Mamadou Billo Bah, ainsi que le retour à l’ordre constitutionnel. Pourtant, même sur la Route Le Prince, une zone réputée pour sa forte opposition, le mot d’ordre a été peu suivi. Bien que l’atmosphère ait été morose, avec peu de véhicules en circulation et certains magasins fermés, on note une réticence générale à suivre l’appel.
Néanmoins, la situation reste volatile. Au moment où nous quittions les lieux, des échauffourées ont éclaté entre des jeunes en colère et les forces de l’ordre, déterminées à maintenir le contrôle. À 14h GMT, des affrontements ont eu lieu à Hamdallaye Pharmacie et à Bambéto, où des jets de pierres ont répondu aux gaz lacrymogènes des policiers. La situation a été rapidement maîtrisée par les agents, aidés par certains jeunes qui cherchaient à éviter toute confrontation.
Les forces de l’ordre ont été déployées sur tous les axes stratégiques de la capitale, notamment aux ronds-points et autres points sensibles. Certains policiers et gendarmes patrouillent dans les quartiers pour disperser tout regroupement suspect.
Sur l’autoroute Fidel Castro, fidèle à son habituelle effervescence, l’appel à la ville morte n’a eu aucun impact significatif. La circulation y était dense, et les citoyens vaquaient tranquillement à leurs occupations.
Néanmoins, la situation reste volatile. Au moment où nous quittions les lieux, des échauffourées ont éclaté entre des jeunes en colère et les forces de l’ordre, déterminées à maintenir le contrôle. À 14h GMT, des affrontements ont eu lieu à Hamdallaye Pharmacie et à Bambéto, où des jets de pierres ont répondu aux gaz lacrymogènes des policiers. La situation a été rapidement maîtrisée par les agents, aidés par certains jeunes qui cherchaient à éviter toute confrontation.
Les forces de l’ordre ont été déployées sur tous les axes stratégiques de la capitale, notamment aux ronds-points et autres points sensibles. Certains policiers et gendarmes patrouillent dans les quartiers pour disperser tout regroupement suspect.
Sur l’autoroute Fidel Castro, fidèle à son habituelle effervescence, l’appel à la ville morte n’a eu aucun impact significatif. La circulation y était dense, et les citoyens vaquaient tranquillement à leurs occupations.
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