Pour Mamadou Lamarana Diallo, le tissage est bien plus qu’un simple gagne-pain : c’est une passion transmise de génération en génération. « Ce métier, je l’ai hérité », confie-t-il. « Depuis 1985, c’est grâce à cette activité que je fais vivre ma famille. » Comme le veut la tradition, le savoir-faire se transmet de père en fils, et Mamadou Bachir Diallo, son jeune fils, n’échappe pas à la règle. « Après l’école, je rejoins mon père pour apprendre à tisser. J’aime ce métier, c’est pourquoi je m’y consacre avec plaisir », explique-t-il.
Pour Mamadou Lamarana Diallo, le tissage est bien plus qu’un simple gagne-pain : c’est une passion transmise de génération en génération. « Ce métier, je l’ai hérité », confie-t-il. « Depuis 1985, c’est grâce à cette activité que je fais vivre ma famille. » Comme le veut la tradition, le savoir-faire se transmet de père en fils, et Mamadou Bachir Diallo, son jeune fils, n’échappe pas à la règle. « Après l’école, je rejoins mon père pour apprendre à tisser. J’aime ce métier, c’est pourquoi je m’y consacre avec plaisir », explique-Pour Mamadou Lamarana Diallo, le tissage est bien plus qu’un simple gagne-pain : c’est une passion transmise de génération en génération. « Ce métier, je l’ai hérité », confie-t-il. « Depuis 1985, c’est grâce à cette activité que je fais vivre ma famille. » Comme le veut la tradition, le savoir-faire se transmet de père en fils, et Mamadou Bachir Diallo, son jeune fils, n’échappe pas à la règle. « Après l’école, je rejoins mon père pour apprendre à tisser. J’aime ce métier, c’est pourquoi je m’y consacre avec plaisir », explique-t-il.
Ces artisans, réputés pour leur créativité et leur savoir-faire, répondent aux commandes en réalisant des motifs uniques pour leurs clients. Mais derrière cette expertise, les tisserands de Popodara doivent faire face à des obstacles majeurs, notamment d’ordre matériel, exacerbés par la saison des pluies. « Nous cultivons le coton localement, mais les fils, nous devons les importer des pays voisins », déplore Mamadou Lamarana Diallo. « Chaque année, le coût des matériaux augmente, tandis que nos revenus stagnent. C’est un vrai problème », renchérit Souleymane Diallo, un autre tisserand de la région.
Réunis en groupements, ces artisans ne demandent pas grand-chose à l’État, mais ils espèrent un allègement des taxes d’importation sur les matières premières, afin de pouvoir continuer à exercer leur métier avec dignité et passion.
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