Selon les informations disponibles, les perquisitions visaient à collecter des preuves concernant des activités potentiellement illégales menées par des individus ou des groupes liés à des intérêts russes.
D’après une source proche du dossier, citée par l’Agence France-Presse (AFP), la personne visée est Guillaume Pradoura, ancien assistant parlementaire de l’eurodéputé allemand Maximilian Krah, du parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD).
Ces perquisitions interviennent dans un contexte de tensions croissantes entre l’UE et la Russie, notamment en ce qui concerne des questions telles que les cyberattaques, la désinformation et les efforts d’influence politique. L’UE a récemment renforcé ses mesures de lutte contre la désinformation et les cybermenaces, soulignant l’importance de protéger l’intégrité de ses institutions démocratiques.
Les autorités européennes ont affirmé que ces perquisitions étaient une étape importante dans leur effort continu pour protéger la souveraineté et l’intégrité des institutions de l’UE contre toute tentative d’ingérence étrangère. Cependant, elles ont également souligné que toutes les personnes impliquées dans ces enquêtes bénéficiaient de la présomption d’innocence et que les résultats des enquêtes seraient traités avec la plus grande rigueur judiciaire.
L’enquête est en cours, mais ces développements soulignent l’importance accrue accordée à la sécurité et à la stabilité de l’Union européenne dans un contexte de pressions extérieures croissantes.
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