L’athlétisme a été le fer de lance de cette performance, avec 24 médailles glanées, confirmant la place de l’Afrique comme une puissance incontournable dans cette discipline. Néanmoins, le sprint a également apporté son lot de surprises, notamment grâce aux exploits des athlètes botswanais.
Le Kenya, fidèle à sa réputation, a une fois de plus dominé la scène olympique, récoltant 11 médailles, toutes en athlétisme. Beatrice Chebet a été l’une des héroïnes de ces Jeux, remportant les épreuves du 5 000 m et du 10 000 m. Faith Kipyeong, quant à elle, a décroché une deuxième médaille d’or sur 1 500 m, poursuivant la tradition de succès de son pays dans cette épreuve. Le jeune Emmanuel Wanyonyi, âgé de 21 ans, a ajouté son nom à la légende du 800 m kényan en décrochant l’or, perpétuant ainsi une série de victoires qui remonte à 2012.
D’autres moments forts en athlétisme ont été signés par des athlètes comme Soufiane el-Bakkali du Maroc, vainqueur du 3 000 m steeple, et Joshua Cheptegei de l’Ouganda, qui s’est imposé sur 10 000 m, confirmant son statut de champion.
Au-delà de l’athlétisme, d’autres disciplines ont également vu des athlètes africains briller. Cissé Cheick Sallah de Côte d’Ivoire a décroché une médaille de bronze en taekwondo, ajoutant une dimension supplémentaire aux performances africaines.
Ces résultats témoignent d’une montée en puissance du sport africain sur la scène internationale, laissant entrevoir un avenir prometteur pour le continent dans les compétitions mondiales.
Les Jeux olympiques de Paris 2024 se sont déroulés du 26 juillet au 11 août, marquant une étape importante dans l’histoire du sport africain.
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