Un gèle des biens et ressources économiques sur une periode de six mois, pour d'Iyad Ag Ghaly, et Amadou Kouffa, respectivement dirigeant du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans en abregé GSIM et chef de la Katiba Macina, un sous-groupe armé du premier.
Alghabass Ag Intalla, Bilal Ag Acherif, Fahad Ag Almahmoud et Achafagui Ag Bouhada, eux aussi, chefs de la rébellion touareg en activité offensive militaire contre l'Etat malien en 2023, pourraient se voir sanctionnés par le même décret qui les présente comme des alliés du GSIM.
Tous sont accusés d'actes de terrorisme, de "financement du terrorisme", "atteinte à l'intégrité du territoire" ou "association de malfaiteurs".
Depuis 2012, le Mali est l’objet d’attaques et d’agression de groupes armés affiliés à des réseaux de terroristes et de la criminalité internationale à l’exemple de la rébellion indépendantiste à dominante touareg qui avait signé un accord de paix en 2015 avant de reprendre le combat dans le nord du pays l'an dernier.
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