La résolution prévoyait un texte portant sur la prolongation d’une année, des sanctions établies en 2017, mettant en danger les accords de paix signés en 2015, mais aussi du mandat des experts en charge de la surveillance de son application. Ces derniers ont d’ailleurs publié un rapport dans lequel sont évoquées les violences faites aux femmes par les Forces Armées Maliennes (FAMA).
Une initiative de la France ,contestée par la Russie, qui a rejeté la résolution en mettant son véto. L’ambassadeur russe Vassili Nebenzia déclare : 《les sanctions ne doivent pas être utilisées comme un moyen d’influence étrangère au Mali et c’est ce que le comité d’experts faisait》, estimant que le projet de résolution aurait engendré d’autres conflits.
Plusieurs conflits opposent les autorités maliennes et la Coordination des mouvements de l’Azwad (CMA), qui avait menacé de mettre fin au cessez-le-feu signé en 2014. Des agissements qui inquiètent le comité d’experts de l’ONU
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