Pour le camp de la majorité en revanche, cette révision s’impose. A la place de la poste de Kisangani, lors de son annonce, le président Félix Tshisekedi affirmait que l’actuelle constitution était désuète.
Sursaut national pour défendre le texte adopté en 2006, année de la dernière révision constitutionnelle et estime que le président doit rétropédaler sous peine de haute trahison. Quand l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), sa formation politique et ses alliés estiment qu’il est temps d’adopter un texte suprême à l’image actuelle du pays. Des voix discordantes qui laissent déjà présager que la bataille entre le oui et le non, sera rude.
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